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Concerto pour violon - extraits de presse
(création - sortie du CD)
Classica (Eric Seigneur), Diapason/Dominique Druhen, Répertoire (Jean Vermeil), Herald Tribune/David StevensLettre du Musicien/Jacques Bonnaure,Le Monde de la Musique/Costin Cazaban ResMusica/Michèle Tosi, Ouest-France/J.L.D
L'édition 1999 du Festival Présences s?était brillamment conclue avec la création de son Concerto pour violon et orchestre qui avait par la suite obtenu une Victoire de la musique. Aussi, cette reconnaissance du public s?est faite par une musique d?accès aisée si l?on peut dire, balisée de repères reconnaissables mais sans que cela soit au détriment du fond ou du propos
(Classica/Eric Seigneur)
Le chef est moins à l'aise dans le magnifique Concerto pour violon de Bernard Cavanna qui constituait pourtant le véritable événement de ce concert. De fait, la soliste Noëmi Schindler, excellente, doit parfois soutenir la cohérence de l'ensemble, ce qui n?est d'ailleurs pas contraire à l'esprit de cette partition poignante.
(Diapason/Dominique Druhen)
With its final orchestra concert, Radio France?s Presences 99 festival was rewarded wither crowd pleaser in the world premiere of the Violin Concerto by the French composer Bernard Cavanna.
The first of the two movements violently opposes the orchestral mass and the relentlessly busy violin, while the second eases the conflict, ending with an ethereal, Berg-like exit for soloist. Traditional enough, yet also with a personal voice that invites more performances
Noëmi Schindler for whom the concerto was written, was the brilliantly énergic soloist,Radio France's Orchestre Philharmonique was under Dominique My's assured direction
(Herald Tribune/David Stevens)
Noëmi Schindler, dédicataire de l'oeuvre, a le verbe haut et son violon virtuose, son jeu concentré constituent un agent important dans la réussite de cet enregistrement.
(Le Monde de la Musique/Costin Cazaban)
...Toute question de style mise à part, le Concerto pour violon de Bernard Cavanna (création) est d'une autre tenue. En deux parties que tout oppose, il dénote à la fois une science orchestrale, un art de la construction et une inventivité sonore de très grande qualité.
...le violon de Noëmi Schindler, reste bien présent, d'une grande finesse et d'une autorité sans faille
(La Lettre du musicien/Jacques Bonnaure)
Superbe, la violoniste suisse Noëmi Schindler défend avec force et conviction cette partition qu'elle a créée. Sa prestation est d?autant plus impressionnante qu'elle est seule à lutter contre le flot qui d'abord semble vouloir la submerger et finalement s'apaise pour mieux laisser chanter son violon magnifique.
(Ouest-France/J.L.D.)
Noëmi Schindler épouse avec tendresse cette lourde cause, passant du beau tumulte de la première partie à sa danse des voiles autour de la note tenue (fa dièse) par l'orchestre dans la seconde, à la Scelci. L'énigme d'un tel propos est très bien posée par Hubert Soudant et l'Orchestre national des Pays de la Loire, dans une palette dramaturgique parfois extrême mais toujours délicate. Le Cavanna de la maturité nous prépare de belles surprises !
(Répertoire/Jean Vermeil)
L'oeuvre de plus grande envergure, le concerto pour violon de Bernard Cavanna, ici dans sa version pour orchestre de chambre, eut sans aucun doute un impact beaucoup plus prégnant auprès du public ; dans le premier mouvement d'abord où se déchaînent les deux forces en présence ; en opposition constante avec l'orchestre, le violon solo est conduit de main de maître et avec une ténacité opiniâtre par Noëmi Schindler et revendique sans jamais faillir sa place au sein d'un ensemble prêt à l'étouffer, métaphore d'une société qui s'acharnerait à écraser l'individu. (ResMusica/Michèle Tosi